Le logiciel SIC est conçu pour fonctionner sur un micro-ordinateur de type PC.

La version SIC 2.1 n’existait que sous système d’exploitation MS/DOS.

La version 3.1 existait sous DOS et sous Windows, afin d’assurer la transition progressive de tous les utilisateurs vers Windows.

La version 3.5 n’existait que sous Windows. Cette version était une version 16 bits et pouvait donc fonctionner sous Windows 3.1, 3.11, 95 ou 98 (et éventuellement Windows NT).

A partir de la version 3.6, le logiciel SIC est une version 32 bits et ne peut donc fonctionner que sous Windows 95 ou 98 (et ultérieurs). Il fonctionne également sous Windows NT, Windows 2000, Windows XP (et ultérieurs). Par contre, sous ces derniers systèmes d’exploitation, des drivers supplémentaires doivent être installés pour que la clef de protection soit détectée. Ces drivers peuvent être téléchargés sur le site web de SIC (sur la page FAQ) dont l’adresse est mentionnée en tête de cette documentation. L’avantage de la version 32 bits est d’être plus rapide, surtout sur machine à base de Pentium 2 et ultérieur, et plus fiable. Par ailleurs, elle autorise le multi-instance, ce qui signifie qu’il est possible d’exécuter, par exemple, Ediflu et Fluvia en même temps, plusieurs instances de Resir pour comparer plusieurs simulation, et même potentiellement plusieurs SIC en même temps, même si cela ne présente pas d’intérêt particulier. Il faut cependant faire attention à ne pas lancer simultannément des instances qui vont créer le même fichier en même temps et nous ne garantissons pas la manière dont Windows gère la protection des fichiers dans ce cas.

Les versions de SIC sous Windows peuvent modéliser des systèmes beaucoup plus grands que les anciennes versions sous DOS. Par ailleurs, la version sous Windows bénéficie d’un nouvel éditeur de la topologie et de la géométrie (Edital).

SIC nécessite un co-processeur mathématique (automatiquement présent sur les processeurs récents de type Pentium) et un écran EGA ou VGA. La mémoire centrale doit être d’au moins 128 MB. Un espace d’environ 80 MB est requis sur le disque dur pour les trois unités du logiciel. Une configuration confortable est un Pentium IV, 64 MB de RAM, Disque Dur 1 Giga octets.

Le logiciel a aussi des possibilités de sorties graphiques sur les traceurs compatibles HP (langage HPGL) en format A4 ou A3, et via des fichiers au format DXF AutoCad, Wmf ou Bmp. Les résultats des calculs peuvent être exportés sous de nombreux formats dont XML, XLS ou des fichiers texte ASCII.

L’unité topographique (Unité I) du logiciel est protégée par une clé qui doit être connectée à la sortie parallèle de l’ordinateur. Si une imprimante (ou n’importe quel autre périphérique) est aussi connecté sur ce port, il doit être allumé et la clé doit être placée directement sur la sortie de l’ordinateur. En cas de détérioration de cette clef, contacter le Cemagref pour en racheter une (avec retour de l’ancienne). En cas de perte, le Cemagref n’assure aucun remplacement.

Certains ordinateurs ont des problèmes pour reconnaître la clé, en particulier sous Windows NT, 2000 ou XP. Pour résoudre ce problème il faut installer un driver fournis sur la page FAQ du site web SIC à www.canari.free.fr. Voir également la rubrique Procédure d’installation pour plus de détails.